La politique familiale dans l'hexagone et en Outre-Mer confrontée aux contraintes budgétaires

Pour faire des économies, le gouvernement met en place un nouveau volet de la modernisation des politiques publiques (MAP) qui vise à mieux contrôler les dépenses publiques. La politique familiale remodelée en est une des traductions.

Mais plutôt que de moduler les allocations familiales en fonction des revenus le gouvernement retouche à la marge le quotient familial. L'avantage fiscal qu'il procure aux ménages avec enfant(s), abaissé cette année, le sera encore, de 2.000 euros par demi-part actuellement à 1.500 euros l'an prochain. Des mesures qui , dans leur philosophie, concernent les départements d'outremer comme l'hexagone.

Du 30 mai au 1er juin, la Collectivité Territoriale de Corse organisait la première édition du Salon "Energ’îles" dédié à la problématique énergétique des territoires insulaires. « Ce salon a vocation à délivrer un message commun, novateur et constructif, qui consiste à mettre en avant le fait que les îles, du fait même des contraintes qui sont les leurs, sont des territoires propices à la mise en oeuvre de politiques énergétiques ambitieuses basées sur la recherche, l'innovation et l'expérimentation », assure Maria Guidicelli qui a mis toute son énergie au service de l'événement. Outre la présence des représentants de l'île d'Ikaria (Grèce) et d'El Hierro (Espagne), de Wight (Royaume-Uni), de Bornholm (Danemark) , les îles de la Guadeloupe, de la Réunion et de la Martinique, étaient les « invités d'honneur » de cette première édition. Le président du conseil régional de la Guyane, Rodolphe Alexandre, était également présent.

A cette occasion , Outremer le mag a recueilli le point de vue de Jean Louis Bal, président du SERE (syndicat des énergies renouvelables).

L'ancien président du conseil régional de la Guadeloupe s'est éteint le 2 juin 2013 en Guadeloupe des suites d'une longue maladie. Il laisse derrière lui une image de bâtisseur à tout crin. On lui doit les infrastructures modernes d'aujourd'hui sur l'île aux Belles eaux.

Maman m’a dit que mes crises ont commencé quand j’avais 10 mois, ça je ne m’en  souviens  pas.
Par contre, je me  souviens des terribles douleurs qui me broyaient les os, alors que je n’étais qu’un tout petit garçon. J’avais à l’époque fait des métaphores  pour décrire la douleur : « c’est comme un tremblement de terre, un cyclone dans le ventre, comme si on me brisait les os avec un marteau piqueur »