Avec la participation des officiels de la ville de Noisy-le-Grand, des représentants des ambassades des pays d’Afrique, des  délégations d’Outre Mer et d’Amérique, des associations noiséennes et de la culture noire en France. Au programme :

ANIMATIONS CULTURELLES – FESTIVAL DE GOSPEL – CINE DEBAT – EXPOSITIONS – ATELIERS DE SENSIBILISATION – RENCONTRE LITTERAIRE AVEC DEDICACE

A la fois fille de descendant d’esclaves et enfant de la noblesse française, la métisse Moune de Rivel a tiré sa révérence. Celle qui avait décidé depuis des années de ne plus parler et de regarder le monde s’en est allée presque sans faire de bruit ce jeudi. Souffrant de la maladie d’Alzheimer, réfugiée dans le silence sa mort à pourtant fait écho. Moune de Rivel, c’est 96 ans de souffle dont de nombreuses années chantant et jouant de la musique afin de mettre en lumière la culture antillaise.
Moune de Rivel était née de parents artistes, sa mère Fernande de Virel était une virtuose du piano et du violon. La guadeloupéenne qui voit le jour à Bordeaux est plongée totalement dans cet univers empli de belles notes.

Vendredi 28 Mars 2014
WE LOVE BLOCK PARTY  est de retour. Pour ceux et celles qui n'étaient pas présent lors de la première, voici l'occasion de connaître cet événement décrit comme la soirée la plus US de la capitale.

Infos : 06 78 47 46 00
Lieu :1979, 49 rue Berger 75001 Paris,  France Métropolitaine. Métro Louvre Rivoli/ Châtelet les Halles
Tarif : Entrée gratuite pour les filles avant 1h00, 10 euros pour les messieurs
Horaire : de 23 h à 00h
Attention ! Pas de payement en CB

Né de parents écrivains, fils dans une famille multiculturelle et multiraciale. Il a fait ses premiers pas « vitaux et sonores » aux Abymes. Jacques Schwartz-Bart que l’on appelait Titiyou » parce qu’il chantonnait tous les airs qu’il entendait. Au fil des années, du ka à la flûte, du violon  à la guitare, son apprentissage des instruments fait de lui l’arrangeur et concepteur de projets originaux.  A 24 sa chance est de tomber amoureux du saxophone ténor et, bien qu’il fût engagé dans la Haute Administration, il abandonnera le Sénat pour la scène... Après ses années au Collège de musique de Berkley à Boston, le musicien caribéen a été carrément adopté dans la grande cité new-yorkaise où il a joué avec les meilleurs musiciens contemporains qui l’ont formé au jazz. Puis riche de toutes ses expériences, l’artiste s’est résolu à poursuivre sa propre vision,  à faire sa propre expérience de la musique jazz en y associant le gwo-ka et  maintenant la musique vaudou.

(Photo Copyright  : Cynthia Phibel)