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Patrick Karam a réussi ce tour de force de concilier au moins cinq tendances différentes de la région Ile-de-France. En effet, à son initiative, le conseil régional d’Ile-de-France, présidé par Jean-Paul Huchon (PS), a débloqué une enveloppe de 300 000 euros pour financer une partie du prix du billet d’avion aux originaires d’outre-mer qui sont contraints de retourner dans leurs régions pour des deuils qui les touchent.
Jean-Pierre Philibert enfonce le clou de façon permanente : « la procédure de défiscalisation reste indispensable à court terme au financement des investissements des petites et moyennes entreprises des DOM ».
Le président de la Fedom est en revanche réservé sur la question du crédit d’impôt, selon lui, « ce crédit d’impôt ne pourra être substitué aux entreprises plus importantes qu’après une période d’expérimentation qui permettra d’en évaluer les difficultés et les éventuels avantages ».
550 éditeurs présenteront leurs productions, ouvrages, et revues, au Marché de la Poésie, du 6 au 9 juin, place Saint Sulpice à Paris. Considéré comme le salon le plus important consacré à la poésie en France, cet événement est la vitrine de la vitalité de la création poétique.
Imaginez le centre du monde. Imaginez, au cœur du Pacifique, une petite île qui se situe entre l’Australie, la Nouvelle-Calédonie, la Papouasie, et que l’on appelle parfois « le continent océanien ». Cette, île, c’est Fidji. C’est dans cet état, indépendant depuis les années 70, que se tenait la septième édition du festival de cinéma Rochefort Pacifique. Ce festival a été accompagné, du 15 au 20 avril par une foule très enthousiaste. Deux continents s’y rencontraient : l’Europe, représentée par le festival de Rochefort, et l’Océanie.
« Cette soif insatiable de l’or a donné naissance au plus infâme, au plus atroce de tous les commerces, celui des esclaves. On parle de crimes contre nature, et on ne cite pas celui-là comme le plus exécrable. La plupart des nations de l’Europe s’en sont souillées, et un vif intérêt a étouffé dans le cœur, tous les sentiments qu’on doit à son semblable ».
« Le logement est un droit fondamental de la personne humaine, martèle Jackson Dolisean, défenseur des droits humains haïtiens, membre de l’organisation FRAKKA, Force de réflexion et d’action sur le logement, c’est un problème qui touche les gens des camps comme ceux qui vivent dans les bidonvilles ».
Il y a un mois, nous vous parlions de la ville de Rochefort, qui depuis 2007 était devenue plus que l’ambassade du Pacifique en France, mais le centre de la culture océanienne sur le vieux continent. En effet depuis sept ans, se tient à Rochefort, le Festival de Cinéma Rochefort Pacifique, un évènement unique en son genre. Cette manifestation a réussi à s’affirmer dans le paysage hexagonal, Outre-mer et bien au-delà des rives de la Charente : dans le Pacifique !
Fin du carnaval 2013, une équipe Franco-Allemande de la chaîne Arte s'active sur les flancs de la Soufrière, ébahie devant un travail de militant, de « sauveur de planète ». La vedette : le docteur Henri-Joseph.
C’est une incroyable histoire. Une histoire de mémoire et de revanche sur le destin.
Elle commence en 1935, sur les quais du port d’Hai-Pong. Une jeune femme de trente ans, Thi-Binh, fait parti des milliers de Tonkinoises qui s’embarquent pour la Nouvelle-Calédonie, une île où la France a besoin de bras pour pallier le manque de main d’œuvre, et surtout ce que les Français appellent « l’inconstance des indigènes Kanaks ». Cette femme laisse à sa famille trois premiers enfants, pour faire parti de cette cohorte de main d’œuvre asiatique traitée comme du bétail. Sa seule identité est d’être le matricule « A649 ». Comme l’explique Anne Pitoiset, auteur d’ouvrages sur la Calédonie et correspondante pour l’Express, les Echos et l’Expansion sur ce territoire, « l’administration coloniale a mis ce système en place pour ne plus s’empêtrer dans ces noms étrangers à rallonge ».
C’est une incroyable histoire. Une histoire de mémoire et de revanche sur le destin.
Elle commence en 1935, sur les quais du port d’Hai-Pong. Une jeune femme de trente ans, Thi-Binh, fait parti des milliers de Tonkinoises qui s’embarquent pour la Nouvelle-Calédonie, une île où la France a besoin de bras pour pallier le manque de main d’œuvre, et surtout ce que les Français appellent « l’inconstance des indigènes Kanaks ». Cette femme laisse à sa famille trois premiers enfants, pour faire parti de cette cohorte de main d’œuvre asiatique traitée comme du bétail. Sa seule identité est d’être le matricule « A649 ». Comme l’explique Anne Pitoiset, auteur d’ouvrages sur la Calédonie et correspondante pour l’Express, les Echos et l’Expansion sur ce territoire, « l’administration coloniale a mis ce système en place pour ne plus s’empêtrer dans ces noms étrangers à rallonge ».