L’attitude méprisante du Président de la région Guadeloupe, vis à vis d’un chef d’entreprise guadeloupéen a bouleversé l’opinion et singulièrement, le milieu socio-professionnel. Profondément choquée, la rédaction d’Outremerlemag s’insurge contre de tels agissements qui plombent l’esprit d’entreprise, le talent et surtout les compétences guadeloupéennes.
Le Centre caribéen d'expression et de mémoire de la traite négrière et de l'esclavage, plus communément appelé Mémorial ACTe, a été inauguré, le 10 mai dernier, lors de la Journée nationale des mémoires et de réflexion sur la traite, l'esclavage et leurs abolitions. Cela, en présence de près d'un millier d'invités et des dizaines de médias des quatre coins du monde. Et pour cause, pas moins de 43 délégations étrangères étaient sur place, dont deux chefs d'Etat et un ministre africains ; de nombreux représentants de la Caraïbe (dont le président de la République d’Haïti) ; sans oublier des représentants d'Amérique du Sud ; des départements, régions et collectivités français ; la Secrétaire générale de l’organisation internationale de la francophonie ; des membres du gouvernement français ; des représentants de l'union européenne ; et autres groupes représentatifs et personnalités diverses locales et nationales...
Evidemment, et comme annoncé, le président de la République française, François Hollande, était sur place dans le cadre d'une tournée dans les Antilles, pour se retrouver aux côtés de ses amis Jacques Bangou, le maire de Pointe-à-Pitre et Victorin Lurel, le président du conseil régional de la Guadeloupe.
Pour 42 sièges (au lieu de 40 actuellement), ils seront donc 164 candidats et 164 suppléants — autrement dit, 82 binômes — à briguer un poste de conseiller départemental. Ces élections se dérouleront, le dimanche 22 mars prochain pour le premier tour. Et le dimanche suivant, le 29 mars, pour le second.