Une conférence de presse sur le stand de l'ODEADOM est prévue le lundi 25, à 11h00. C'est l'occasion pour cet organisme de mettre en avant les moyens qu'il met à disposition des jeunes agriculteurs ultramarins en matière de formation et d’aides à l'installation. L'ODEADOM accueille également sur son stand et ce pendant toute la durée du salon, un atelier sur la cosmétique bio.
Autre actualité phare de ce salon, les dix ans de l'UGPBAN, l'union des groupements de producteurs de bananes des Antilles. Plusieurs producteurs feront le déplacement jusqu'à Paris pour montrer les différentes étapes de la production jusqu'à la commercialisation, sans oublier au passage le secteur de la recherche. Sur les stands de la Guadeloupe, les exposants aborderont avec le public les problèmes liés à la pêche et à l'élevage. Des films des débats, sans oublier la production du café de Karukéra, de plus en plus variée et de plus en plus abondante. Sur les stands de la Martinique, on abordera les aspects méconnus de l'agriculture ultramarines, tout ce qui est lié à la transformation des produits tropicaux. La Réunion, la Polynésie et les Nouvelles Calédonie seront présentes comme les années précédentes pour montrer leurs productions bien identifiées par le public.
Comme le veut la tradition, le jeudi 28 février, les récipendaires du concours général agricoles, les producteurs de punch, de liqueurs, recevront leurs récompenses des mains des Ministres de l'Agriculture et des Outre-mers.
Cette édition se déroule su fond de fraudes dans les consommations de plats préparés à base de viandes douteuses. Un contexte qui ne concerne heureusement pas les Outremers français. Un autre salon aura lieu au même moment à Villepintes autour de l'équipement et des machines agricoles. Ceux qui cherchent un job dans l'agriculture dans l'hexagone ou en Outre-Mer pourront participer à des « jobs datings ». 5000 postes seraient à saisir.




