Marie-Line Ampigny, ancienne journaliste et maîtresse des mots, a écrit un nouvel ouvrage « D’étranges rumeurs », paru aux éditions Orphie. Marie Line est également fondatrice et directrice du Théâtre de l'Air ancien, Théâtre de l'Air Nouveau, comédienne, et metteur en scène des belles années du Théâtre Noir de Paris. Après différents postes entre théâtre, animation et politique culturelle, Marie-Line Ampigny est aujourd'hui responsable de l'animation et de la communication au musée départemental de la Pagerie*.
Les 6 et 7 juillet ont été deux jours dédiés au Carnaval Tropical de Paris. Un quartier en liesse pour voir la 10ème édition du Carnaval de Paris initiée par les gens des Caraïbes. Rappelons pour l’historique que le père du Carnaval des Tropiques de Paris fut Maurice, que l’on ne doit ni nier ni oublier. Le Tropical carnaval est une période de lâcher-prise pour les ultramarins, où tous ceux qui aiment la fête se donnent rendez-vous pour montrer les us et coutumes en partage dans nos îles : Guadeloupe, Guyane & Martinique. Mais c’est aussi une fête où les gens d’autres horizons sont invités à participer comme cette année le Vietnam, la Colombie, la Chine, la Réunion et autres.
La Première édition du Carnaval Tropical par Mme Danielle Apocale, chargée fut un franc succès.
Elle a eu avec elle évidemment son équipe d'organisation,le Tout-Paris y était présent entre politiques : Mme Hidalgo, candidate à la Mairie de Paris et des membres du gouvernement, Mesdames Georges Pau-Langevin & Sophie Elizon.
Max Cilla, le Père de la flûte des Mornes comme le surnomme le « Péyi » Martinique, fut pendant deux ans le maître du grand Eugène Mona, et ensuite de Dédé Saint-Prix. Même si quelques institutions oublient son apport à la musique de la Martinique, il nous faut souligner que sa carrière s’est diversifiée tant au cinéma qu’au théâtre. Entre concerts et studios d’enregistrement, l’auteur-compositeur s’est inspiré de « l’oralité rurale de la Martinique », comme il aime à le dire. Max Cilla, c’est une musique marquée par l’universalité et la spiritualité, toujours harmonieuse et poétique.
Davy Sicard, l’artiste Réunionnais, était présent à la journée d’hommage pour Aimé Césaire. Il faut se rappeler qu’il avait été invité le 10 Mai 2010 à la cinquième commémoration nationale de la mémoire des abolitions de l’esclavage au Jardin du Luxembourg. Davy Sicard dit que c’est pour lui un devoir de rendre hommage à Césaire. Il a répondu avec bonheur à cette nouvelle invitation qui gratifie le grand poète. Nous l’avons rencontré à la soirée organisée par l’association « Aimez Ces Airs » dirigée par Christian Ortolé.
Nous en parlions déjà le 13 juin sur Outremer le mag’, le centenaire de la naissance d4aimé Césaire donne lieu à plusieurs manifestations de qualité.
Bertrand Delanoë Maire de Paris, Jean-François Legaret, Maire du 1er arrondissement ont inauguré le Quai Aimé Césaire le mercredi 26 juin 2013 à 11h15, sur la Passerelle Léopold Sédar Senghor.
Comme beaucoup de gamins des années 80-90, le cinéma chinois genre « Bruce Lee » lui fait découvrir les arts martiaux. Au-delà de la fiction, elle réalise que cela fera partie de sa vie. La jeune femme de la Basse-Terre a passé le plus clair de son temps dans la salle « le Tivoli », où l’appellation Kung-Fu devient pour elle un leitmotiv. A 15 ans, elle entame une formation sur la terre de Guadeloupe initiée par un des ces professeurs lui-même formé en métropole. Ce sera Thierry Gaspard, le premier pygmalion qui lui donnera encore plus la passion de cette discipline. C’est avec le Sang-Chu (technique traditionnelle du Kung-Fu-boxe pied poing sans saisie & sans coup à la tête) qu’elle débute. Natacha Bounet sera une des premières élèves, et la seule fille. Cette énergique jeune femme évolue grâce à une formation intense de la technique, des différentes positions de base, de la partie combat pour évoluer dans son domaine et, à force de ténacité, elle est devenue une spécialiste du Kung-fu Senda.
Avec Fabrice di Falco, c’est d’abord une histoire de chœur. Et, c’est le cœur qui me fait l’écouter et vous transcrire son récit. C’est encore lui qui parle le mieux de l’artiste qu’il est. Fabrice di Falco est un amoureux vrai de la musique qu’il ne divise pas en genres. Le chanteur sopraniste à la voix particulière, que tout le monde rêve d’entendre chanter est un curieux. Il n’hésite jamais à prêter sa voix à toutes les couleurs musicales, et comme il le dit c’est le métissage qui prône même si c’est la musique d’opéra qui l’a fait émerger. Alors simplement je vous invite à l’entendre.
Le public comme les artistes en ont témoigné dimanche 16 juin au Zénith. C'est un chœur d'AMOUR qui était présent au Zénith pour la soirée DREPACTION initiée par Jenny Hippocrate, l'Association Apipd DrépAction, Tropiques Fm et la production de Cyril Koudou.
« La passion coule dans mes veines, je ne fais rien sans elle » a déclaré un jour Margareth Lahoussaye-Duvigny. Et c’est comme cela qu’elle a choisi de parler de la Drépanocytose. L’ancienne Top Model Martiniquaise qui vit entre Paris et New-York est venue soutenir le Drépaction du dimanche 16 juin au Zénith. Elle nous a parlé avec son cœur.